(Photo illustration qui n'a rien à voir avec la réalité)
L’homosexualité prend de l’ampleur dans notre
pays malgré que l’opinion soit majoritairement opposée à cette pratique qu’elle
juge contraire à nos mœurs. Mais la pratique le plus souvent soutenue par les
discours occidentaux gagne du terrain et les adeptes ne s’y cachent pas, tel
est ce cas qui s’est présenté ce matin dans le quartier Djidjolé.
Les habitants de ce quartier ont été témoin
d’une scène pour le moins anodine. Dans un taxi qui ramenait un groupe de noctambule
tôt ce matin à la maison laisse éclater une bagarre entre les occupants. On apprendra plus tard
que ces passagers particuliers revenaient d’une boite de nuit. Excédé par la
bagarre, le chauffeur s’arrêta et les fit descendre. Il s’agit de deux
demoiselles et d’un jeune homme, un métis.
« Tu
ne peux pas me faire ça, tu m’as trahi, tu sais que X est ma femme »,
vocifère presque aux larmes une des dames à l’endroit du métis.
Cette dame qui parle ainsi est l’une des
lesbiennes. Elle soupçonne le métis de draguer sa partenaire, l’autre femme du
groupe. Elle s’attaque violemment au métis qui ne se laisse pas faire et la
bagarre continue. Dans la bagarre, la perruque de la femme qui certainement
joue le rôle d’homme dans ce couple s’accroche à une branche d’arbre. Sur son visage on aperçoit des cicatrices preuve de la
rudesse de la bagarre et de jusqu’où chacun est prêt à aller pour conquérir ou
garder cette dame objet de la convoitise. Pendant ce temps, l’autre dame que le
métis draguerait et qui serait la partenaire de l’autre femme, un peu timide,
essaie de s’échapper. Sa partenaire la rejoint et devant la foule sortie et
sans gêne, elle l’embrasse en public, peut être pour prouver au métis que c’est réellement sa partenaire.
Devant ce geste inattendu, des cris de
désapprobation fusent dans la foule matinale. Sans avoir froid aux yeux, la
jeune dame qui vient d’embrasser sa partenaire lance « je suis chez vous » ?
Alors que dans certains pays, les lesbiennes
ou les homosexuels se cachent pour éviter le lynchage, au Togo, ils peuvent
s’embrasser en public et même narguer le public. Preuve qu’au Togo on n’est pas
homophobe.
So/05/02/19
Francine
DZIDULA
scoopinfotg@gmail.com
1 Commentaires
Vous pouvez me définir l'homophobie s'il vous plait. C'est curieux de voir que même nos journalistes confirment la meilleure chose au Togo c'est de voir une femme discuter une autre femme avec un homme. En cela le togolais est meilleure aux autres. J'ai honte non seulement des ces êtres abominables qui vendus leur humanité mais de ce journalistes qui a pu dire de façon éhontée «les togolais ne sont pas homophobe». C'est clair les occidentaux ont mis un gros mot dans votre bouche. Puisque je Suis togolais et que vous avez parlé en .notre nom, je crois que j'ai raison de réagir et si c'est passivité devant l'incongrue qui est l'absence de l'homophobie, sachez qu'il y a des milliers de togolais homophobe.
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